Le récit (révisé), oublié de Numénor. - http://www.la-cfd.com Forums


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Zar

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"Le récit (révisé), oublié de Numénor." , Dim 1 Oct 11:18 post reply


Souvent j'ai eu a vous rencontré, ai discuté avec vous, mais n'ai décelé en vous le souvenir de Numénor, et de sa glorieuse et tragique histoire. Je crois que le moment se prête au souvenir, Edains parmi les hommes.

Tous des atanis, les edains (humains) qui vécurent à l'époque de la venue de l'haruspice pour juger les elfes ne vivaient pas hors du monde, et ne restèrent pas hors du conflit qui advint.

Ces humains connurent la civilisation elfe dans sa gloire et partagèrent connaissances, savoirs et pouvoirs, et leurs devoirs envers les ennemis des elfes. Les atanis de cette ère étaient grands, puissants et vivaient plusieurs fois la vie d'un homme normal, car en eux coulaient le sang des eldars, les elfes. Ils furent dénommés les amis des elfes, et servaient les valars, (les puissants) et illuvatar (le plus grand parmi les dieux) nom que donnaient les elfes aux dieux. Les valars, soucieux de cette race jeune, firent conduire par l'entremise de leurs enfants les eldars, sur une île préparée pour eux, en récompense de leur dévouement, les edains qui voulurent rejoindre cette terre. C'était une terre de splendeur la lumineuse Numénor, qui était connue également sous les noms d'île de l'étoile ou terre de l'ouest. Les edains qui vécurent sur cette terre se nommèrent les numénoréens. C'est Elros le demi-elfe frère d'Elrond, parent de Galadriel et descendant du roi des elfes finwê, qui fût le premier roi de Numénor.
Toutefois, il fût un temps ou vint l'haruspice, en ce temps là le mal grandissait et Tar-Pharazon ou cutalion (l'inébranlable), le plus puissant des rois qu'ai connu Numénor, fût séduit par le mal et le désir de pouvoir, car il envia les elfes et voulu s'octroyer leurs terres, numénor était grande en savoir et puissance, mais ne pouvait rivaliser avec la splendeur des royaumes eldarins. Les numénoréens qui se détournèrent des eldars et des valars, fûrent nommés les rebelles. Ceux parmi les numénoréens qui restèrent ami des elfes, suivirent Elendil, le père d'Isildur premier roi, à l’époque ou les dunedains prenaient roi, à venir de ceux que l'on nommeraient plus tard les dunedains, car ils étaient les edains des terres de l'ouest. Les fidèles étaient connus sous le nom d'elendili. Au momment de se retourner contre les valars et les eldars, les eldars fîrent appel à illuvatar, et illuvatar se détourna de Numénor. Dans cette lutte Numénor et tous les rebelles parmi les numénoréens fûrent jugés comme les elfes par l'haruspice, pour ce qu'il étaient devenus, car ils étaient elfes de sang ,et leur trahison les condamnaient aux yeux du grand démon. Lors de la bataille finale, les fidèles avaient fuit numénor, seul neuf navires purent rejoindre le continent. Numénor fût détruite et engloutie, son nom désormais fût Akallabêth ou Atalantë.
Les elendilis suivirent leurs aînés, parmi les elfes qui avaient survécus et se mélèrent aux hommes qui avaient de par leur éloignement échappé au conflit. Ils oublièrent leur passé volontairement car trop de douleur deumeurrait de la splendeur passé de Numénor, chose pour eux pire que la mort. Les elfes qui vinrent parmi ses hommes, et partagèrent leur culture avec eux, les nommèrent dunedains. Si pour eux edain signifiait homme, l'appelation elfe ne fût donné qu'aux edains, numénoréens et aux familles qui avaient connues les elfes avant la venue de l’haruspice, car ils étaient des adhans-edhel.
Les dunedains fondèrent une puissante alliance qui lutte contre le retour de l'haruspice et fait vivre la sagesse et les connaissances anciennes de leurs aïeux les elfes.

Depuis ces temps immémoriaux, le souvenir de Numénor se perdit, et n'est connu aujourd'hui qu'à travers la légende d'Atalantë. Seul les descendants d'Isildur, qui se transmirent la mise en garde de la chute de Numénor, conservèrent son souvenir.
Les edains, elfes, mais hommes à la fois ont déjà été jugé, par l'haruspice, il est temps que les dunedains se souviennent de cette tragédie. Les humains ont déjà failli, ils doivent être mis en garde et épaulés plus que jamais face à cette lutte et ne point oublier le danger que représente l'haruspice, celui qui fût connu en eldarin l'ancien language des elfes originels comme Melkor, Morgoth ou Belegurth (la grande mort).

Je m'excuse si le récit originel de l'Alkabeth a été altéré, mais des siècles ont passé, et c'est cette histoire qui me fût transmise, lorsque je fût en âge de la comprendre.


Replies:

Hurlelune
Le Barde Dunedain


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"Re(1):Le récit (révisé), oublié de Numénor." , Lun 2 Oct 14:12 post reply


Trés cher sir Zar,

Je ne peux traduire par des mots l'émotion qu'à fait resurgir en moi le souvenir de la divine Numénor. Non, nous autres dunedains n'avons pas tout oublié de cette terre mythique! Certes, meme mon grand âge ne me permet pas d'avoir vu de mes yeux les rues de la cité des elfes, mais je me souviens parfaitement du récit que m'en faisais le père de mon père alors que j'étais enfant. Grâce vous soit rendue pour avoir ranimé en moi ce souvenir.

Avec mes plus distinguées salutations,

Hurlelune, barde dunedain

anonymous

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"Ton verbe est ma rédemption hurlelune" , Mer 4 Oct 13:06 post reply


La première fois que mon cœur s'éveilla en Althéa, je découvris l'existence de guilde, et y découvris la confrérie des Dunedains. Je restais circonspect et doutais de la qualité de celui qui exigea beaucoup de lui-même, (Tolkien) et peut être que je ne pensais pas y retrouver la ferveur de son oeuvre, ces dunedains pour moi ne pouvaient être que des succédanés des Dunedains.
Longtemps après, même en aillant découvert la qualité des dires de cet havre, le doute deumerait et ne voulait mettre ma confiance dans cette confrérie, j'en ressentais une certain ressentiment car nul parmi ces dunedains ne semblait vouloir s'intéressé à la source de ce qu'ils prétendaient être.
Puis, j'entendis les mots de Drusilla, découvrit tes paroles Hurlelune, et le doute qui me rongeait s'estompa, ôtant de moi ce qui entravait ma confiance dans le devenir des dunedains, alors grâce te soit rendra à toi, car des elfes la grandeur deumerait.



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