Original message
| thyrion
 |  "un petit texte"
, Sam 7 Oct 11:19 
mes frères mes soeurs voyageurs voyageuse :
voici un texte que j'ai ecrit racontant qq passages de ma vie bien que je sois encore bien jeune:)
Ceci n'est qu'un debut et je pense si ce n'est pas trop nul continuer....... Je dois remercier très fortement Hurlelune mon frère qui m'a tant aidé. Je dois aussi vous prevenir que je ne parle pas (encore) de tout le monde seulement de Fanelia et Andromede qui s'ils ne sont pas d'accord avec le moindre petit detail peuvent me le dire et doivent me le dire.
Ce texte est bien sure inspirée de fait qui se sont passés il y'a bien longtemps quand fanelia ne s'appelé pas ainsi et que les voiles portaient vers RD n'étaient pas si nombreuses......
Donc voila mon texte: (si vous payer la com du net je vous conseil de faire copier coller car c un peu long) (bonne lecture)
Le feu crépitait joyeusement devant nous, les longues flammes éffilées éclairaient la belle chevelure noire de Fanelia. Nous étions fatigués, je le voyais dans les grands yeux verts d'Andromede : les lieues que nous venions de parcourir nous avaient épuisé, malgré la grande endurance que nous prêtaient les humains. Personne ne parlait, nous ne faisions qu'attendre indéfiniment en nous observant les uns les autres. Un fin rayon de lune éclairait le beau visage de dunedaine de Fanelia. J'étais assis, mais je décidai de m'étendre et d'attendre ainsi que le sommeil veuille bien me prendre et m'emmener dans les bras de Morphée. Je sentais le regard d'Andromede posé sur moi:
- Thyrion, ce pendentif que tu portes ... je me souviens l'avoir déjà vu.... quel est il ?
Je mis un peu de temps à répondre car mes pensées fugitives s'en étaient allées :
- C'est une médaille que les rois dunedains donnaient aux soldats pour les recompenser de leurs hauts faits aux champs de batailles..... elle appartenait à mon père ...
- Est il encore de ce monde ?
- Non malheureusement ... il est mort comme beaucoup de dunedains il y a bien longtemps, quand je n'étais encore qu'un adolescent.
" Tu te rappelles surement de l'auberge du rôdeur ... mon père l'avait racheté à son ancien propriétaire grâce à l'argent qu'il avait accumulé quant il n’était encore qu'un soldat ... Un de ces beaux jours d'été, il m'avait envoyé chercher de l'eau à la rivière toute proche. Sur le retour je m'attachais à ne pas renverser l'eau que contenait mon seau ... Quand je fus à environ cinquante mètres de l'auberge, une odeur de brûlé fit frétiller mes narines. Ce n'était pas la douce odeur des rôtis que préparait ma mère. Je relevais alors la tête, pour apercevoir de mes yeux embrumés ce desastre :
Il ne restait plus que des ruines de l'auberge de mon père ...
Je courus alors, lachant mon seau, les larmes aux yeux, jusqu'au tas de cendre qu'était devenu l'auberge de mon père.
Je sautais dans tous les sens, je courais autour des ruines sans oser trop m'approcher. J'espérais voir comme par miracle ma mère sortir des décombres, mais rien de tout cela ne se produisit ... Je m'assis alors et me mis a pleurer. Tant d'images me venait a l'esprit ... Je restais une éternité a larmoyer ainsi. Quand mon corps fut vide de toute larme, je me relevai. Je me dirigeai alors doucement, d'un pas déterminé vers ce tas de pierre ou étaient surement ensevelis les corps de mes parents. Je commençais alors à les déterrer, pierre par pierre. Je trouvais ainsi, au milieu des cadavres de Leilet, notre serveuse, et de Lenny, l'apprenti forgeron, les corps sans vie de mes parents ...
Ma mère, contrairement à mon père, arborait un sourire de nacre dans une mort de marbre ...
Aprés les avoir déterrés à la sueur de mon front, les larmes me revinrent et je me remis alors à pleurer.
La tristesse me plongea dans une sorte de transe paralytique : J'étais là, allongé au milieu des corps, ne sentant ni ne ressentant plus rien, mon coeur seul battant encore par une force inextinguible ...
Je ne sais combien de temps je restai ainsi, perdu dans mes pensées, mais quand je sentis cette main douce et chaude sur mon épaule il faisait déjà nuit ... Je n'osais rouvrir les yeux ... J'entendis alors une voix douce et néanmoins fatiguée. C'était celle de Fanélia.
- Eh ... petit garcon ...
Elle attendit quelques secondes.
- Ouvre les yeux ... je suis là pour t'aider ...
Un combat interieur fit rage en moi. L'un me disait de ne rien faire, tandis que l'autre me disait d’obéir à La Voix ...
J'écoutais celui qui me disait de faire confiance à cette voix, et j'ouvris lentement les yeux, pour apercevoir une belle jeune femme, une dunedaine.
La suite, Fanélia la connaît. Nous enterrâmes mes parents et elle m'emmena dans de nombreuses contrées par delà les montagnes ... J'appris qu'elle aussi avait perdu ses geniteurs lors de la grande bataille contre l'Haruspice. J'appris aussi, bien plus tard, que nous avions échappé de peu a l'ensevelissement de Célestia, et que c'était les troupes de l'Haruspice qui avaient mis à mort ma mère mon père et tous les autres amis qui m'étaient chère .
- Fanélia, comme je te l'ai déjà dis, tu fus une vraie mère pour moi et je t'en remercie...
Mes mots furent comme une flamme qui s'éteignit peu a peu, car quand j'eus fini personne ne parla et plus aucun bruit ne se fit entendre.
Thyrion le dunedain apprenti barde ecrivain.
P.S: faite attention car je vais surement parlez de vous la prochaine fois :) je vous raterez pas !)
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Replies:
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| Fanelia
 |  "Re(1):un petit texte"
, Mar 10 Oct 19:38
Une bien belle histoire :)
Seulement, Tu as retrouvé une famille et notre combat ne s'arretera pas la.
*souvenir*
Bisous 'tit Dunedains ;)
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| raffidoo
|  "Re(1):un petit texte"
, Lun 9 Oct 10:21
bravo a toi Thyrion,
J'avoue ne pas etre deçu par ce que tu m'avais annoncé!
A quand la suite....
a bientot
ton petit frere Raffidoo
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