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Zar historien ? | "Synopsis du Dunedain" , Dim 15 Oct 10:07 
Voici également un essai, qui résume *une histoire* et fait appel à un chant celui du souvenir du coeur de nos sources... -------------------------------
Le soleil naissant Atanis émergeants perdu au vent eau du tourment
Eldars cotoyants Symbiose vivante Sang se mélant Passions mouvantes
Voyage lointain Numénor d'ouest Terre de Dunedains Edains de l'ouest
Mal émergeant Osmose décadente Numénor perdue Venir ardu ----- Atanaris émergeants Mal émergeant Symbiose vivante
Osmose décadente Numénor d'ouest Numénor perdue
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Zar historien ? | "Alkabeth vit ici, nul besoin de la retrouver!" , Dim 15 Oct 23:20 
C'est un honneur pour moi d'avoir touché votre sensibilité vous qui en êtes le plus ouvertement, détenteur, messire hurlelune.
Il ne m'ai point possible d'accepter le titre que vous m'attribuez alors que vous-même n'en acceptiez aucun au sein des dunedains, ni distinction, autres que celle de votre valeur.
Si dunedain de confrère,ne suis point, mon coeur lui vibre de la même aspiration que ceux de mes ancêtres qui vivent ici plus qu'ailleurs. De père suis numénoréen, ma mère elle était une tareldar, le reste compte peu...
Longtemps, la soif de l'incompréhension me poussa à rechercher dans le passé les sources de l'Alkabeth, les causes de la chute de la civilisation eldarines, mais d'Atanlatë il ne subsitait rien. C'était une erreur, car point dans l'histoire ne trouvais-je la cause de ma soif, elle vivait là à côté de moi. Tant de temps à errer, sans les miens, sans pouvoir partager,ni y retrouver en l'homme mon visage...car ils ne sont point de mes parents.
L'histoire est morte, je n'y est rien trouvé, je n'est point cherché là où il fallait. L'histoire se façonnait sous mes yeux, sans que je la vit, ni l'entendit,...mais d'une aube légère la lumière m'est apparue, mes frères vivaient...ne voulais-je le reconnaître ou ne le pouvais-je...
Il est temps désormais de quitter sa retraite, c'est en ce monde que vit Alkabeth, point dans l'autre, trop de temps ont passé, sans que je ne m'implique dans le fleuve d'Althéa. Mon sang, que je cherchais dans les abimes de mon âme, coule en ces terres, en vous; mon seul désir désormais et d'abandonner mes manuscrits et d'écrire ce qui va suivre avec mes frères.
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