Original message
| Galadran
  |  "*toujours en forme*"
, Sam 9 Dec 19:19 
Alors qu’à l’auberge, mes guêtres, je traînais,
Mes oreilles, par une histoire furent attirées,
M’ayant fais sourire et même rigoler,
Je m’en vais ici même vous la compter :
Alors qu’un troubadour, sous les applaudissement, croulait,
A la suite de quelques rîmes et de beaux mots d’esprit,
Un noble qui passait eu soudain une idée
Et c’est sans plus tardé, pour la gloire attirer,
Qu’il se mis à chercher et voici ce qu’il fit :
Ne sachant comment faire, n’ayant jamais écrit,
Il commença par lire des ouvrages de poésie
Et durant ses recherches, le baladin quand à lui,
Vagabondait solitaire au cœur de la nuit.
Le noble de son coté, trouvait et annotait,
Des mots qu’il ne comprenait mais qu’il trouvait jolis,
Le badaud, sur un arbre perché, à la lune parlait,
Chantant à cette être de lumière, des mots doux enfin qu’elle sourit.
C’est au petit matin, le jour maintenant levé,
Que triomphalement, le Sir à sa main brandit,
Un triste gribouillis sur une feuille de papier,
Il courut, cherchant une assemblé, se sentant fier de lui.
Le jeune homme de son coté, après avoir dormi,
Se leva, s’étira et parti sur la route pour trouver à manger,
Qu’elle ne fut sa surprise de voir ses amis,
Dans l’auberge rigoler, racontant l’histoire d’un noble humilié.
Alors, il décida, pour manger et pour boire,
D’écrire et de compter sur le sujet une histoire,
L’intéressé cependant, étant tout furibond,
Décida sur le champ d’envoyer le vilain en prison.
Sur l’heure, par les villageois fâchés,
La ville fut assiégé, voulant récupérer, leur barde emprisonné,
Et c’est bien malgré lui que le noble fut forcé,
Libéra le poète par le peuple réclamé.
Depuis ce jour, à chaque apparition, le noble fut hué,
Tandis que, de son coté, l’amuseur acclamé, continue à chanter.
Le riche s’enferma et ne fit plus parler de lui,
L’humble voyage et apporte de ville en ville toujours tant de gaieté.
De cette courte histoire plusieurs chose on peu tirer :
Les mots, même compliqués, doivent être bien employés,
Si l’on veut, grâce à eux, pouvoir s’exprimer,
Faire naître des sentiments, tristes aussi bien que gais.
On peu dire aussi que les récits, les poèmes, doivent être amenés,
Sans attendre en retour, gains ou gloire, d’autrui,
Mais doivent servir à transmettre et apporter,
La joie, les pleures ou encore des idées, sans être intéressé.
Cette fable est dédiée à la flamme de ma vie,
La seule et unique dont j’ai envie,
A elle qui sans le savoir ma fournit le thème,
Je l’en remercie et encore lui dit : je t’aime.
Galadràn le dunedain amoureux
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Replies:
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| Thyrion
|  "Re(1):*toujours en forme*"
, Lun 11 Dec 19:10
NON NON NON arrète tous ...
Le pôvre hurlelune y vas être au chomage avec toi :)
neanmoins *applaudissement* franchement c excellent je te felicite pour ta plume délicate et poetique vraiment bravo.
Thyrion le dunedain qui a peur qu'on jette son frère hurlelune hors de la famille ....:)
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